jeudi 29 janvier 2009

13h37...

...l'heure des 1337 !!! Ph34r !!...
Bah sinon, vous pouvez trouver à quoi correspond votre adresse IP. La mienne a un score de 19, correspond au Dimanche 29 Août 2004 en format de date UNIX et se trouverait un peu au large de l'Indonésie si c'était une coordonnée géographique. Si c'était une phrase, ce serait "eye tell would ask". Et elle ressemble à ça :Vous aussi, dressez le portrait chinois de votre adresse IP ! Ou pas.

mardi 27 janvier 2009

Une recette qui réchauffe : la Flamm

Comme Olivier a commencé une rubrique "Cocktails", je vais faire dans le cliché et ouvrir une rubrique "Recettes"...! Pour commencer, la recette de la fameuse flammenkueche, appelée plus communément flamm sous mes anciennes latitudes.

Pour 4 personnes si vous en mangez une part en entrée, ou pour 2 personnes en guise de plat principal.

Ingrédients :
- Une pâte à pizza
- 15 cl de crème fraîche liquide (ou plus, il n'y a jamais trop de crème fraîche !)
- 1 oignon
- 200g d'allumettes de lardons
- 1 chat qui a l'air intéressé (pas indispensable)
- et aussi un peu de beurre


Faites préchauffer le four à 175°C.
Demandez à Olivier de couper l'oignon et faites-le (l'oignon, pas Olivier) revenir dans un peu de beurre. Ajoutez-y la crème. Laissez cuire 2-3 minutes.
Faites revenir les lardons.
Comme vous êtes un peu multi-tâches, pendant ce temps, déposez la pâte à pizza sur la plaque du four, puis étalez-y le mélange oignon-crème. Ca doit ressembler à ça, même si ça n'a pas l'air très ragoûtant :

Ensuite, déposez l'appareil photo et aidez-vous plutôt d'une spatule pour étaler la crème correctement sur la pâte. Maintenant, les lardons sont prêts, alors garnissez-en votre préparation.


Enfournez le tout (sauf le chat) pendant environ 15 minutes (chaleur tournante à 175°C c'est parfait !).
Et voilà le travail !

A déguster chaud, avec du Maggi c'est encore meilleur !

vendredi 23 janvier 2009

Yatta !!!

Un cri de joie parce que la journée d'hier a été vraiment très difficile, mais qu'elle s'est achevée sur une note positive : ma AuKmobile II est passée au contrôle technique (et aussi en référence au superbe clip du même nom, évidemment) !!
Ca a vraiment été une bonne surprise, vu que pour les 2 derniers contrôles techniques, ça avait été un gros "fail" et plein de réparations à la clef...


Un si bel objet, me direz-vous, comment peut-on lui refuser quoi que ce soit ? Et bien par exemple, on me refuse souvent la priorité, et... bon. Il faut avouer qu'elle n'est plus toute jeune (elle fête ses 13 ans au mois de juillet), et que par moments, j'ai l'impression qu'elle tombe un peu en miettes... elle qui a passé plusieurs hivers à Belfort, elle refuse désormais de démarrer dès que la température avoisine les zéro degrés !
Enfin voilà, gros soulagement et pas de dépenses supplémentaires obligatoires pour la voiture ce mois-ci... en espérant que je passe mes "contrôles techniques" de ces derniers jours (quelques examens médicaux cette semaine) avec le même succès... La réponse bientôt.

Un Peu Sado

Comme promis, un petit mot sur le parcourt du combattant que représente un échange de disque dur...

La théorie:
Un livreur se présente, il vous confie un nouveau disque dur, vous lui donnez l'ancien, c'est fini !

La pratique:
Voici comment relever les différentes épreuves auxquelles vous allez être confronté.

Mission 1: louper la première livraison.
Vous avez par miracle un RTT pile poil le jour où le livreur doit se présenter ! Forcément, vous avez une contrainte : un train à 15h. La chose se présente plutôt bien, le suivi de colis est efficace et annonce qu'il a quitté l'entrepôt à 3h du matin (je pense que les livreurs n'ont jamais de croissants frais...). Vous attendez donc de pied ferme... 9h... 10h... 11h... midi... toujours rien... Pas de resto... 13h... 14h... le train part dans une heure, il est temps. Franchissement de la porte à 14h15, toujours rien.
Tant pis, bus, métro et... oh tiens un appel non décroché, 15 min après mon départ...
Succès de la mission 1 !

Mission 2: louper la deuxième livraison.
Le lundi, dites vous simplement que les livreurs appellent quand ils sont là. Il suffit donc de se tenir prêt le lundi, avoir la voiture à porté de main, et être prêt à arranger un échange rapide avec le livreur.
A 18h, vous n'aurez pas eu de coup de fil. De retour à la maison, un avis de passage indique votre absence.
Succès de la mission 2 !

Mission 3: louper la troisième livraison.
L'échec est un sentiment euphorisant, grâce à l'avis de passage, modifiez l'adresse de livraison pour être livré directement au boulot. Attendez 9h, 10h, 11h... Dites vous alors que forcément, le livreur va passer à midi pendant que vous ne serez pas là, relachez votre effort, et soyez pris à revert par son arrivée 20 min avant l'heure du succès.
Échec de la mission 3. Le livreur est là et vous remet le précieux colis.

Mission 4: louper l'échange.
Vous remerciez, et tendez la pièce toute cassée. Le livreur va la refuser, sans bon de retour, il ne peut rien en faire. Ouverture du colis, fouille des papiers... Rien.
Le nouveau disque reste, l'ancien aussi.
Succès de la mission 4 !

Il s'avère en fait qu'un second livreur doit venir passer chercher ce colis. Une nouvelle mission !!!

Mission 5: louper le premier enlèvement.
Cette mission est la plus simple. Vous recevez un mail d'alerte vous annonçant que vous avez réussi avant même d'avoir essayé. Le soir, la boîte aux lettres confirmera le verdict: le livreur est passé chercher le disque dur à 9h30, disque qui doit être retourné emballé dans la même boite que celle reçue le matin même à 11h40.
Aucune faille temporelle à signaler, et donc :
Succès de la mission 5 !

Mission 6: louper le deuxième enlèvement.
Fort de votre expérience passée, vous vous connectez sur le site d'UPS, et demandez un enlèvement à une autre adresse. Fort judicieusement, le site vous annoncera qu'il ne peut pas traiter la demande.
Sans se laisser abattre par l'informatique, ayez recourt au téléphone. Un gentil conseiller vous répondra après s'être efforcé d'écourter au maximum votre attente. Demandez lui le changement d'adresse. Vous êtes sur le point d'échouer.
Utiliser votre joker "Boulet-time". Le conseiller va alors changer de comportement, et vous annoncer qu'il est impossible de modifier l'adresse sur ce colis. Expliquez lui bien l'absurdité d'envoyer un livreur, que vous ne serez pas là, et contemplez sa réponse formatée. Il ne cèdera pas, enverra un livreur, et vous conseillera d'essayer d'être là, étant donné que le livreur devrait logiquement se présenter vers à la même heure que le jour même, c'est à dire 9h30.
Succès, vous partez au travail à l'heure habituelle. Vous allez le louper.
Prenez soin de coller l'avis de passage sur la boite au lettre, en demandant le changement d'adresse (on ne sait jamais).
A 17h30, le livreur passera (à la même heure que la veille donc), et emportera l'avis de passage sans laisser le moindre mot.
Succès de la mission 6 !

Mission 7: louper le troisième enlèvement.
Le lendemain, le livreur a bien réussi à modifier l'adresse, et se présente. Constatez bien au passage que c'est le même livreur qui vous a fait échouer à la mission 3. De là à penser que c'était également lui qui s'était présenté le matin même pour venir chercher le colis qu'il ne vous avait pas encore remis...
Bref, vous n'avez plus qu'à lui remettre la boîte. Il colle l'étiquette et s'en va.
Échec cuisant de la mission 7...


La partie est terminée.

Un petit rappel:
-cas idéal : le livreur se serait déplacé une seule fois, en arrivant avant 14h, et muni du bon de retour.
-cas réel : le livreur s'est déplacé 6 fois en tout, et vous avez dû appelé le numéro surtaxé d'UPS pour rien.

Conclusion ?
Je vous laisse la trouver... Il faudra bien une armée de consultant à UPS pour analyser les coûts qui peuvent être économisés sur un simple échange de marchandise, ne pensez pas y arriver seul...

mercredi 21 janvier 2009

Tout est cassé

Bonsoir !

Un petit billet d'humeur sur de récentes aventures... En effet, alors que l'idée de créer un blog était en construction, en effervescence, en ébullition, bref... mon PC a décidé de planter.

J'entends d'ici les linuxiens vanter les mérites d'un système qui ne plante pas, à partir du moment qu'on a fait un master à l'épita, que l'on a compilé son propre noyau avec des drivers adaptés à la situation, et que l'on a sécurisé le port B12.
Je disais donc, avant de me faire interrompre par le gens qui mangent des pommes et pour qui un PC doit être un modèle de beauté, toute façon ils ne l'allument pas, ou alors uniquement sous Windows afin de profiter du dernier jeu à la mode...

Bon, arrêtez de me couper la parole. Ce soir là (oui car c'était un soir), nous recevions Laurent à manger, et du coup, le ventre trop plein surement, l'appel du lit était bien plus fort.

Le lendemain matin, Vista ne fût point presto à démarrer... Après un démarrage en cours qui ne s'achevait pas, puis un mode sans échec qui finissait en écran bleu, j'ai pris mon courage à deux mains (un CD de Knoppix dans l'une, un CD d'installation de Vista dans l'autre).
Après une sauvegarde quasi totale (haaaaaaaa), le réinstallation de Vista fût enclenchée (haaaaaaaa), sans succès (hooooooo).

Fouillage dans les cartons... "CD de diagnostic". Lancement... pom pom, cliquez ici, là, débranchez l'alimentation, rebranchez, fermer l'écran, faites trois tours sur vous même, puis après 20 minutes de tests, le verdict sans appel, inébranlable et terrible: secteurs défectueux sur le disque \Device\truc\compliqué\0.

Sans paniquer, formatage total, identification des secteurs défectueux, réinstallation de Vista. Successful ! ... 1 jour. Comme disait un collègue estimé : "les secteurs défectueux, ça se multiplie, c'est comme ..."... euh en fait je ne sais plus la fin...
...
...


Euh donc, connexion au support technique Dell.
Moi : Oui, tout est cassé.
Dell : Tout ?
Moi : Non, juste le disque dur.
Dell : Ah... Ben on vous en envoie un autre !
Moi : C'est gentil.
Dell : Vous avez pu besoin de l'ancien ?
Moi : ???

Je sais, ça fait un magnifique presse papier, mais bon...

La prochaine fois, je vous raconterai comment j'ai loupé le livreur d'UPS, ou encore comment la logique d'UPS fait d'un échange de disque dur une épreuve digne d'un des travaux d'Hercule...

lundi 19 janvier 2009

Le bug de l'an 2038

Voilà un fait bien singulier que je viens de découvrir grâce à mes collègues geek (ce n'est pas une insulte, hein, enfin pas venant de moi en tout cas) : le 19 janvier (oui, oui, comme aujourd'hui, en plus, je n'invente rien) 2038 à 3 heures, 14 minutes et 7 secondes, les ordinateurs utilisant la représentation POSIX du temps (c'est-à-dire que le temps est compté en nombre de secondes depuis le 1er janvier 1970 à minuit) vont avoir un petit souci... En effet, sur les machines 32 bits, ce nombre de secondes est limité à 2 147 483 647, ce qui nous amène à la date fatidique.

Et voilà, on pensait être débarrassés du bug de l'an 2000, mais le bug de l'an 2038 nous guette sournoisement...! C'est rigolo, non ? Vous avez 29 ans pour passer en 64 bits ! Plus d'infos sur Wikipédia pour ceux que ça intéresserait !

vendredi 16 janvier 2009

Patapon

Attention : cet article ne concerne en aucun cas une bande dessinée parue dans Charlie Hebdo, mais bien un jeu vidéo sorti sur PSP qui aura l'honneur d'être le premier à figurer dans la flambant neuve section "Jeux" de ce blog.

Le type qui a inventé le concept de Patapon est un génie. Ou alors il est complètement barge, je ne sais pas.
Patapon est un jeu de guerre. Vous sélectionnez vos guerriers, vous équipez vos troupes, vous les placez, et vous les envoyez guerroyer. Ce qui est somme toute assez classique. Mais ce qu'il faut savoir, c'est que les Patapons ressemblent à ceci :
Vous dirigez donc une armée de gros yeux à pattes, qui manient la lance, la hache ou l'arc, et qui portent parfois un casque de viking, ce qui est du plus bel effet.
Vous avez été nommé Tout-Puissant (comme Bruce, oui), et vous avez été choisi pour aider le peuple patapon à restaurer sa gloire d'antan. Vos Patapons vous vénèrent, c'est vous qui les avez sauvés ! Ils ne manqueront donc jamais de vous gratifier de "Tout-Puissant AuK, notre sauveur !" et autres "Seigneur AuK, vous êtes le plus grand !", de quoi faire plaisir à votre ego. Enfin au mien, en l'occurrence. On ne s'en lasse pas, vraiment.

Mais la plus grande originalité de ce jeu de guerre, c'est que Patapon est aussi un jeu de rythme : vous guidez vos troupes uniquement en jouant différentes mélodies avec des tambours. Ainsi, si vous jouez "PATA PATA PATA PON", vos petits Patapons vont avancer, alors que "PON PON PATA PON" les fera attaquer. Mais il faut jouer bien en rythme, et uniquement les mélodies connues, sinon, c'est la débandade, les petits guerriers vont se sentir abandonnés par leur dieu, et ils vous feront part de leur désarroi. En revanche, si vous parvenez à aligner les bonnes "notes" en rythme, les petits Patapons vont scander la mélodie en effectuant l'action qui y est associée.


Évidemment, pour "frapper le tambour" en rythme et effectuer les bonnes combinaisons de touches, il faut rester concentré. Pour ma part, impossible de discuter pendant une partie de Patapon. Et si on est VRAIMENT concentré, on a tendance à battre le rythme avec le pied, ou pire, en hochant la tête. On arrive ainsi à faire quelques combos bien sympathiques, mais on a l'air particulièrement ridicule, à headbanguer tout seul devant sa console...

Mais ça doit être un peu répétitif, à force, non ? Ben... oui mais non. Bien sûr, on fait tout le temps la même chose, mais on n'en a pas vraiment l'impression, on gagne de nouveaux objets, de nouvelles armes, on bichonne les petits guerriers tout choupis... on avance. Et à la fin de chaque mission, on se dit que c'est la dernière... oh et puis allez, encore une, juste une... Ou pas.

Voilà, comme ça, ça a peut-être l'air de rien, mais je pense qu'il faut l'avoir vu pour le croire... et y avoir joué pour comprendre... PON PON PATA PON !


Un petit lien rigolo, si vous avez envie de voir PataBond (son nom est Bond...), Flatapon et leurs copains : http://www.2pstart.com/2008/02/27/marching-to-the-beat-of-a-different-drum/

Un premier cocktail bien français

Salut,
J'inaugure cette rubrique en dévoilant un secret ancestralement bien gardé... J'ai nommé : la recette du cocktail tricolore !!

Commençons par les ingrédients de base :
- le bleu : est-ce utile de préciser que le curaçao est plutôt bien indiqué pour cette couleur ?
- le blanc : il sera en fait transparent et non pas blanc, tout simplement parce que le lait dans les cocktails, on aime ou pas mais ça reste bizarre... Donc finalement le blanc sera en fait du rhum !
- le rouge : suffisamment facile à deviner également, le rouge trouvera écho dans le sirop de grenadine.

Maintenant, un petit cours de physique. Tout corps plongé dans un bain en ressort mouillé. Euh non c'était l'autre... Bref, le feu brûle, le vent souffle, et le rhum flotte.
C'est comme ça.
Et il flotte sur le curaçao.
Et ça ça nous embête !

Il faut donc lester le rhum et alourdir le curaçao.

Pour ceci, dans deux verres séparés :
- mélanger une demie dose de curacao avec une demie dose de rhum

- mélanger une demie dose de rhum avec une demie dose de sucre de canne


Il faut faire environ un tiers de verre pour chaque couleur. Là, il y en a un peu trop, mais c'est pour deux verres ! Malin !



Il ne reste plus qu'à superposer les trois couleurs.
- Dans un petit verre, commencer par verser le bleu.

- Puis, très doucement, verser le blanc.

- Enfin, encore plus doucement, verser le rouge.


Voila ! Il n'y a plus qu'à bien apprécier l'œuvre éphémère, puis à l'avaler ! Ben quoi ? C'était bien fait pour ça à la base non ?
Une dernière vue bien horizontale du résultat :



Ah oui dernière chose : si le cocktail n'est pas bu en un coup, il vaut mieux le mélanger, c'est meilleur !

A vos instruments !

jeudi 15 janvier 2009

IKEA a ouvert à Rennes...

Et quelques images valent mieux que des grands discours...

Toute ressemblance avec des faits réels serait purement fortuite. Ou pas.

(Cliquer sur la photo de l'animal mort n'engage que vous, c'est pas mon genre de faire de la pub comme ça !)

samedi 10 janvier 2009

Un début difficile...

Bonjour et bienvenue sur notre petit blog ! On avait décidé de le mettre en ligne aujourd'hui, de photoshoper nos avatars et de commencer tout ça en beauté, mais le sort s'est acharné contre nous... Ce matin, le PC d'Olivier refuse de démarrer, et juste après, celui d'Audrey en fait autant ! Un joli week-end de réinstallations et de coups de fil à Dell en perspective... En tout cas, on ne se laisse pas abattre, et on lance notre blog malgré tout (heureusement qu'on a les PC du boulot, quand même...) !

A quoi va servir ce blog ? En plus de présenter des anecdotes de notre vie quotidienne (à deux), nous allons chacun de notre côté vous parler de ce qu'on aime et de ce qu'on n'aime pas, comme des iPhones (à ranger dans la seconde catégorie), de jeux vidéo, de films, de geekeries, de musique, et de plein d'autres trucs fantastiques.

Pourquoi LapinAuKetchup ? Cela date d'une soirée un peu arrosée où Audrey avait décidé de faire un lapin à la moutarde avec Abi, le lapin bélier d'Olivier. Ne trouvant pas de moutarde dans le frigo, elle se rabattit sur le ketchup... C'est ainsi que le lapin au ketchup est né (et dans LapinAuKetchup, il y a AuK, et ça, c'est quand même trop puissant).

A quand le premier article ? Mais, ceci est le premier article ! Les autres suivront au gré de nos autres occupations (comme réinstaller les PC, nettoyer le lapin...).

A bientôt donc !