lundi 14 septembre 2009

Orange sanguine

Ou "Encore une envie de meurtre envers notre cher opérateur"...


Comme vous le savez, nous avons passé 3 semaines absolument formidables (et absolument épuisantes) aux USA, et vous pouvez bien sûr retrouver les photos ici et .
Comme vous le savez peut-être également, il y a 6 heures de décalage horaire entre la France et la côte Est des USA (New York tout ça), et 9 heures de décalage entre la France et la côte Ouest (San Francisco tout ça).
Comme vous ne le savez peut-être pas, car vous avez choisi un opérateur téléphonique qui ne vous harcèle pas, Orange réalise tous les 2 ou 3 mois des enquêtes de satisfaction auprès de ses clients, en essayant par la même occasion de leur refiler de nouvelles options pour leur forfait, parce que bon, faut pas déconner non plus. Vous recevez donc chaque jour (tant que vous n'avez pas répondu) un appel masqué sur votre mobile, en général entre 11h et 16h, toujours en semaine. Personnellement, à ces horaires là, je suis au travail ou alors je mange et mon téléphone est perdu au fin fond de mon sac, donc je ne réponds pas (surtout que j'ai une sainte horreur des appels masqués). Au bout d'une ou deux semaines d'appels quotidiens, Orange met les bouchées doubles, et vous recevez donc deux appels par jour. Et cela peut durer très longtemps...

Maintenant que le décor est planté, vous commencez peut-être à avoir une petite idée du scénario...

Orange a donc bien évidemment décidé qu'il fallait absolument me contacter le 20 juillet, soit quelques jours après notre arrivée aux Etats-Unis. Après quelques jours de réveil vers 5h du matin par le vibreur de mon téléphone qui indiquait fièrement "Appel masqué" (nous ne décrochions pas par souci de "Hein ?... Quoi ?... Qu'est-ce qui se passe ?... Le téléphone ?.... Ah ben m*** ça sonne plus..."), nous avons pris un vol pour l'Ouest, et nous nous faisions dès lors plutôt réveiller vers 2h ou 3h du matin.
Après maintes tentatives de décrochage ratées, c'est à Las Vegas, le 1er août, à 3h20 du matin, que j'ai enfin réussi à décrocher (soit après 2 semaines de nuits pourries par Orange). J'ai passé le téléphone à Olivier, qui a entendu "Veuillez patienter, vous allez être mis en relation avec un conseiller". Quelle joie !... Lorsqu'Olivier annonça au fameux conseiller que leur système était mal foutu et qu'ils pourraient éviter ce genre de coup de fil lorsque les clients étaient à l'étranger, celui-ci rétorqua que "ce n'était pas sa faute" et demanda si mon forfait me convenait...

Bien évidemment, sur ma facture du mois d'août, on m'indique je paye une communication hors forfait depuis l'étranger (ah ben oui, c'était ça, ou bien on me pourrissait toutes mes nuits jusqu'à mon retour en France)...

"Mais Audrey, mais pourquoi tu ne l'as pas éteint, ton téléphone ???" D'une part, parce que j'estime que d'abord, je le laisse allumé si je veux, namého, et d'autre part, car il me sert de réveil matin, et que je ne lui fais pas confiance quant à son efficacité s'il n'est pas allumé. Voilà.

La suite de l'histoire : j'attends la prochaine offensive d'Orange, et là, je riposterai fort, très très fort...!


mardi 8 septembre 2009

Des p'tites roues, des p'tites roues, toujours des p'tites roues...

Un petit article pour vous conter mes mésaventures du 2 septembre au matin...
Le 2 septembre de l'an 2009 tombant (sans se faire mal) un mercredi, le français moyen se doit d'aller gagner son pain (et celui de son patron).
Pour se faire, certains utilisent les bus, quand ils ont la chance d'avoir une ligne pile poil dessinée pour eux, d'autres utilisent leur vélo, mais normalement dans ce cas il pleut, d'autre encore, comme moi, prennent leur voiture. Parfois même certains covoiturent, comme moi et Audrey, mais ne nous égarons pas sur la pelouse de peur de se faire lever les essuis-glace...
En route vers la voiture donc, un cri de stupéfaction vint à attirer mon attention. Il ressemblait à "ta voiture!".
A priori, c'était un bon signe que le périple pedestre touchait au but convoité, et que le carosse tant convoité était en vue! Que neni... Ou du moins, pas entièrement.
En effet, le carosse avait perdu un peu d'altitude et de semelle de caoutchouc. Le carosse résultant étant quelque peu posé sur son disque de frein arrière droit.

L'histoire est claire comme la lune : quelqu'un s'est introduit sur le parking fermé de l'immeuble, a profité de la pleine lumière du lampadaire pour ne pas user ses yeux, a démonté son butin sous notre fenêtre, et est reparti comme si de rien était. Ni nous, ni les voisins, ni les policiers du poste 300 m plus loin, ni les chats n'auront rien vu (les chats peut être en fait, mais ils ont rien dit).

Une analyse de la situation vient mitiger la situation. En effet, les 4 roues n'ont pas disparues ! Une seule s'est évaporée avec enjoliveur et moult boulons (goujons est le terme technique semble-t-il), deux sont démontées, et une est toujours en place.

Mais, que s'est-il donc passé ???
Aussi tôt dit, j'enfile ma tenue de Shadok, euh de Sherlock.

Ce qui suit est le récit singulier d'un voleur de roue(s) peu expérimenté. Comme vous aller le comprendre, si l'histoire est clair comme la lune, le point commun entre la lune et le larcineur se situait en un autre mot...

En cette nuit, quelqu'un s'introduit donc sur le parking pour démonter les roues d'une 206. Apparemment, il a une recherche précise, puisqu'il choisit les pneus 16", 195mm, en tôle banale, de ma 206, plutôt que les 15" classiques, voire même des belles jantes. A-t-il prémédité l'acte, ou bien s'est-il rendu compte par la suite qu'il n'avait pas volé le bon modèle ??
Toujours est-il qu'il choisit ma petite 206. Son acte est sans conteste prémédité, puisqu'il n'a pas prévu de retirer les écrous avec ses dents, et dispose de l'outil adéquat.
Il s'agenoue donc, met en place l'outil, et donne un coup violent afin de débloquer l'écrou. Le résultat ne se fait pas attendre, et la tête de l'écrou tombe au sol sous ses yeux ébahis. Quelle force ! Arracher de la sorte un écrou. Et bien, ça n'ira que plus vite se dit-il en passant au deuxième écrou.
Toc ! Le deuxième cède également, rompu net ! Incroyable. Le 3ème et le 4ème subissent le même sort.
Le voleur tente alors de retirer la roue, qui ne bronche pas d'un millimètre.
Mais que c'est-il passé ??
La réponse en image :


Voici à quoi ressemble feu enjoliveur... Un beau plastique mat, orné de 4 faux écrous pour faire style "ceci-est-une-jante".
Le larcineur vient de calmement arracher les 4 faux boulons en plastique...
Assez de temps perdu, il a tout compris ! Il enlève la dépouille de l'enjoliveur, et s'attaque aux vrais boulons.
C'est un peu moins facile forcément, et il y a plus d'un tour à donner. Cependant, tant va la cruche au boulon, à la fin il n'en reste point.
La roue est libérée de son cercle infernal. Notre héro s'en empare comme d'un trophé récompensant sa persévérence stercoraire.

Dynamisé par une telle réussite, il s'élance vers la deuxième roue, donne un coup de son outil magique... et romp le faux boulon du deuxième enjoliveur... Ah oui, il l'avait oublié celui là! Mais on apprend toujours de ses erreurs, après 5 boulons en plastique cassés, ça y est ! Il empoigne l'enjoliveur directement et l'enlève sans prendre la peine de démolir les 3 autres frères boulons en plastique.
Hop hop hop, sans faiblir, voilà les 4 vrais boulons retirés et empochés.
Notre héro truculent saisit la deuxième roue et l'enlève...
...
... ou pas.

Notre héro subit une téléportation dans ses cours de physique de seconde. Que disait le prof ce jour où il l'avait tiré de son sommeil ? Ah oui, la gravité. Une histoire de pomme qui tombe quand l'arbre de la tiens plus.
Oh !! Une voiture c'est comme une pomme, quand plus rien ne la tient, elle tombe ! Pourtant dans son histoire, jamais le pommier n'est tombé sur la pomme... Peut être une question de poids, après tout une voiture et une pomme c'est pas exactement pareil. A moins que ce soit la masse. Puis c'est trop compliqué ces histoires de tonnes, et de new tonnes...

En tout cas, cette roue là est coincée à mort sous la voiture, notre héro à beau être intelligent, ce n'est pas Hercules, et il ne va pas soulever la voiture à mains nues... Autant essayer une autre roue.
Aller nous y revoilà ! Premier boulon : héhé non, ce coup-ci on enlève l'enjoliveur, on lui la fait pas deux fois à lui. Enfin deux si, mais pas trois. On peut pas tromper 3 fois 1000 personnes !
Et hop hop hop, on s'active, voilà la 3ème roue qui se retrouve sous le feu de la croix démonte-roues.
Un enjoliveur, quatre boulons, on tire sur la roue et victouuuwwwwaaaaa la vache, faillit se perdre la voiture sur le pied. Mais qu'est ce qu'elle a cette voiture à pas vouloir tenir sur une roue ! Celle là est encore coincée... Aller on tire dessus, on tourne ca dans tous les sens, on pousse bien la voiture pour y mettre ses empreintes digitales qui de toutes façons ne seront jamais relevées, la police a du travail plus important que retrouver un voleur de roue(s).

Pfff rien à faire, elle est coincée... Notre héro est désabusé, démoralisé, et n'essaye même pas la 4ème roue. Peut être a t il été dérangé dans son labeur ? En tout cas, il embarque son butin.
1 enjoliveur
1 roue avec un pneu
9 boulons (oui oui, il en faut 4 par roues, mais au cas où...)

Voilà donc l'histoire de cette nuit là... La prochaine fois, je vous raconterai les méandres de l'assurance, et comment elle s'en sort pour ne payer qu'un minimum. Assurance tout risque certes, mais pas trop non plus.

mercredi 24 juin 2009

NPE World Tour 2009 - Cesson Session

Et voilà, on a fait notre premier concert avec NPE la semaine dernière ! NPE, c'est le groupe dans lequel je chante, et ce sigle signifie tout un tas de choses que je tairai ici, parce qu'après on va encore passer pour des geeks (ce qui ne serait que justice, mais bon, là le but est simplement de faire de la musique).
On s'est donc produits le 18 juin à 13h, dans le cadre de la fête de la musique de... France Telecom (qui nous louent gentiment leur salle de répé, il ne faut pas l'oublier). On a joué environ une demie heure, soit 6 morceaux, je vous laisse admirer la setlist :
  • Orion (Metallica)
  • Broken (Sonata Arctica)
  • Wanderer (Ensiferum)
  • A Dream Within A Dream (Akin) (oui on reprend des groupes lyonnais qui n'existent plus, on n'a peur de rien)
  • Smells Like Team Spirit (Nirvana)
  • Addicted To Chaos (Megadeth)

Ca a été un moment vraiment sympa, même si chacun de nous a fait son lot de conneries sur chaque morceau ou presque (ou comment rater la moitié de couplet d'une chanson, oublier les paroles d'une autre, ...), j'imagine que ça fait partie des risques du métier ! Ce n'était que mon deuxième concert en configuration "groupe", j'en avais fait un autre avec RaZorBill fin 2004, ce qui commence à remonter quand même un peu.
Bref, très bonne expérience pour moi, je trouve qu'on se sent vraiment soudé aux autres membres du groupe pendant les concerts puisque c'est "nous face au reste du monde" (enfin aux 30 personnes qui sont restées malgré la pluie !), et au final on est tous dans la même galère. Bref j'ai l'impression que ça fait un peu devise de mousquetaire alors je vais m'arrêter là pour vous faire profiter de notre splendide reprise de Megadeth en super accéléré...!

mercredi 17 juin 2009

Complètement sous l'eau

Non, il ne pleut pas, et non, je ne suis pas allée à la piscine (ça va pas non ??). C'est juste que nous sommes en pleins préparatifs, que le mariage est dans moins d'un mois, et que je commence tout doucement à saturer gravement...

Heureusement, j'ai des copines cool qui m'ont organisé un enterrement de vie de jeune fille de toute beauté samedi dernier (et un peu dimanche aussi, vu que je n'ai pas réussi à me lever avant 16h... enfin si, mais un tout petit peu). Le thème était "La Nouvelle Star", elles m'ont donc concocté un T-shirt (ainsi qu'une magnifique perruque) pour l'occasion, et elles se sont elles-mêmes déguisées en le jury féminin de l'émission, à savoir... Lio. Je me suis donc baladée à Rennes pendant plusieurs heures avec des bonbons et d'autres friandises à distribuer, j'ai fait chanter les gens, et je leur ai collé du rouge à lèvres plein la tronche, avec l'aide de mes 4 Lio personnelles.


Quelques petites surprises ont jalonné l'après-midi, notamment un tour de manège ainsi qu'un tour en Ferrari (qui n'était absolument pas prévu !). Le quatuor infernal et moi-même avons fini la journée par quelques sushis, puis nous avons par écumer les bars, ou plutôt un bar de nuit ma foi fort sympathique.

En Ferrari avec Lio

Du coup, dimanche, je n'ai absolument rien fait, mais qu'est-ce que ça fait du bien, de temps en temps...

Et donc n'oubliez pas le 11 juillet, qui, comme vous le savez tous, est la date de sortie de Dragon Quest IX au Japon.

mardi 9 juin 2009

Père Sauna 4

"Je m'appelle AuK K. Je suis étudiant dans la petite ville rurale d'Inaba depuis cette rentrée d'avril 2011. En arrivant, avant même d'être descendu du train, j'ai pressenti quelque chose d'inquiétant. Puis mes rêves se sont faits sombres, peuplés d'énigmes et de choses cachées... Peu après mon arrivée à Inaba, un meurtre vient bouleverser la tranquillité de cette petite ville... meurtre sur lequel mon oncle, chez qui je me suis installé pour cette année, est chargé d'enquêter.

Lorsque j'ai fait la connaissance des autres étudiants de ma classe, ils n'ont eu de cesse de me parler du "Midnight Channel", une chaîne de TV qui, si l'on en croit la rumeur, ne diffuse qu'à minuit lorsqu'il pleut, et présente au spectateur le visage de son âme soeur... Un peu sceptique, j'ai tout de même tenté l'expérience. Ma surprise fut grande lorsqu'à minuit, ma TV s'est allumée d'elle-même ! Je ne sais pas ce qui m'a pris, j'ai alors touché l'écran... et ma main l'a traversé."

Yeah, ça c'est du pitch (non, je ne parle pas de brioche...) ! Ou pas... Bref, les meurtres et les disparitions s'enchaînent à Inaba, et ils sont étroitement liés à la météo (un meurtre lorsque le brouillard apparaît, toujours après plusieurs jours de pluie). Les victimes apparaissent sur le Midnight Channel avant de disparaître mystérieusement, et ce n'est qu'en pénétrant dans le monde parallèle qui se trouve DANS la TV que vous pourrez les sauver. Le décor est planté.
Persona 4 est une simulation d'étudiant doublée d'un Dungeon-RPG... NON ! Ne vous sauvez pas en courant, s'il-vous-plaît, lisez encore juste un petit peu ! En gros, vous menez une double vie : la journée, vous êtes un étudiant normal, vous suivez les cours, vous inscrivez à des clubs de l'école (moi, je fais du basket et je joue de la trompette... et ouais), pouvez exercer des petits boulots, allez faire les courses, et surtout, discutez avec les autres. La création de liens sociaux est primordiale dans ce jeu, car elle influe directement sur vos capacités (et celles de vos alliés) au combat. A côté de cela, vous menez l'enquête avec vos amis, en essayant de démasquer l'auteur des meurtres tout en évitant qu'il y ait de nouvelles victimes. Vous plongez ainsi régulièrement dans "le monde de la TV", où vous rencontrez Teddie l'ours (Kuma dans la version japonaise, ce qui signifie... "ours"), qui vous servira de guide dans votre mission (et passera son temps à faire des jeux de mots laids avec "bear").

Teddie, l'"ours"... ou pas.

Les deux premières heures de jeu sont assez étranges, puisque le joueur n'effectue quasiment aucune action, et se contente de répondre de temps en temps à une question, et navigue ainsi au gré des prémices du scénario, découvrant peu à peu son environnement et les personnes qu'il va être amené à côtoyer. Il s'agit toutefois d'une bonne entrée en matière, car même s'il peut paraître frustrant de "ne rien faire" pendant 2 heures, on démarre vraiment le jeu avec pas mal d'éléments de l'histoire déjà en place, on n'est pas perdu, et on évite ainsi un bon paquet de scènes explicatives/tutoriaux, puisque tout a été condensé au début.
Alors Persona, qu'est-ce que c'est ? Pour résumer, chacun des protagonistes (mis à part le héros !) vont avoir à affronter leur "face cachée", une espèce d'alter-ego sombre qui est un concentré de tout ce qu'ils ont d'inavouable en eux, et qu'ils tiennent évidemment à cacher. Une fois qu'ils ont accepté ce côté obscur, ils héritent d'un Persona, une espèce d'invocation à laquelle ils feront appel au cours des combats lorsqu'ils utiliseront magies et techniques. Ces Personas les suivront tout au long du jeu, gagneront de l'expérience et apprendront de nouveaux skills. Seul le héros pourra changer de Persona selon son bon vouloir, et utilisera ainsi ceux qu'il trouvera parfois en fin de combat, ou s'amusera à les fusionner pour en obtenir de nouveaux.

L'univers du jeu est assez déroutant pour les RPGistes qui ont plutôt l'habitude d'évoluer dans des univers médiévaux-fantastiques, cyber-punk et j'en passe, mais rarement dans un monde réaliste au milieu de gens normaux (ou presque). Quant aux donjons présents dans le "monde de la TV", ils sont générés aléatoirement, ce qui apporte évidemment en recherche et en exploration, même s'ils restent assez linéaires (impossible de s'y perdre).
J'apprécie énormément le système de combat, où vous pourrez diriger jusqu'à 4 joueurs... du moins, vous dirigez toujours les actions du personnage principal, et vous pouvez choisir d'influer ou non sur celles des autres, cela allant du classique "Direct Commands" qui vous permet de tout décider pour eux, jusqu'au "Act Freely" où ils feront absolument ce qu'ils veulent, avec quelques options intermédiaires permettant de leur dire d'économiser leurs points de magie, de se focaliser sur la santé de l'équipe, etc.
Les Personas propres à chaque personnage matérialisent chacun un élément magique (glace, feu, vent, électricité, lumière, ténèbres), auquel correspond aussi une faiblesse (si je maîtrise l'élément glace, je serai faible face au feu), ce qui est classique dans ce type de jeu (et notamment dans la série des Shin Megami Tensei, à laquelle la série des Persona est rattachée). Cela est également valable pour les ennemis, et il devient dès lors intéressant de découvrir le point faible de chaque ennemi, car si le bon élément est utilisé, il sera possible de les mettre KO pour un tour. Lorsque tous les ennemis sont inactifs, vos coéquipiers vous proposent d'effectuer une attaque groupée surpuissante, qui ne coûte pas le moindre point de magie et se traduit généralement par une défaite cuisante du camp adverse (à part pour les boss, faut pas déconner non plus).

Petite transition avant une attaque combinée

Au niveau des musiques, j'ai également pris une bonne claque (d'ailleurs la BO est fournie avec le jeu, si c'est pas merveilleux !), la plupart des mélodies colle incroyablement bien à l'ambiance, et les morceaux ont tendance à me rester dans la tête encore et encore. Il est très surprenant au premier abord d'avoir des musiques avec des paroles dans un jeu de ce type (dans un karaoké, c'est plus courant), mais on s'y fait, et on s'y fait même très bien. Un petit bémol au niveau des donjons, car même si les thèmes sont adaptés à ces passages du jeu, ils sont généralement assez stressants et on préfèrera dans ce cas se jeter sur tous les monstres du coin histoire de pouvoir entendre la musique des combats, qui est autrement plus cool...


Enfin voilà, au final, c'est tout bonnement du bonheur en DVD, et pour ma part, j'ai beaucoup de mal à y jouer moins de 3h d'affilée ("Oh, je fais encore une journée de cours...", "Allez, encore un étage du donjon et j'arrête !", "Ah, il faut que j'aille au basket sinon je ne serai pas ami avec Daisuke, je joue jusqu'à la demie..." Ben non ça ne marche jamais...). Comme quoi, la PS2 n'a pas encore dit son dernier mot, et accueille encore des monuments pareils, en anglais qui plus est (ah oui, ça, il ne sera pas traduit dans la langue de Molière, et c'est très bien comme ça) ! Et pour prévenir la douloureuse chute que sera la fin du jeu (enfin j'ai encore le temps...), je me mets dès à présent à la recherche de son grand frère Persona 3... et j'attends la réédition du premier opus sur PSP, sorti à l'époque sur PSOne ! Elle est pas belle, la vie ?

vendredi 5 juin 2009

Au soleil (bis)

Photo prise hier midi de la fenêtre de mon bureau :


Des personnes qui bossent dans le bâtiment d'à côté avaient décidé de pique-niquer sur la pelouse, avec une armée de chaises de jardin et un splendide parasol, j'ai trouvé ça sympa...! Comme quoi, il y en a qui apprécient le soleil, quand même ! Et puis comme ça, tout le monde peut voir le merveilleux endroit où je passe mes journées...

Et pourvu que ça dure (mais ça a l'air mal barré).

mercredi 3 juin 2009

Au soleil... ou pas.

Cela fait maintenant quelques jours que le soleil a enfin décidé de briller sur la Bretagne (et sur le reste de la France aussi, apparemment, mais ça, c'est moins rare). Et il brille même fort, ce qui n'est pas pour me déplaire, après tous ces mois de grisaille/vent/pluie (ne rayez aucune mention...).
Et ça devrait réjouir tout le monde, non ? Non. Car le Français se plaint, c'est sa spécialité. Quand il pleut, il se plaint. Quand il fait gris pendant des semaines, il se plaint. Jusque là, je le comprends à peu près. Et après ça, il fait enfin beau ! C'est ce qu'espérait le Français, il devrait être content ! Et bien non, il se plaint toujours. Pas plus tard que ce midi, alors que je mangeais en terrasse (c'est assez rare pour être souligné), j'entends à la table à côté, mot pour mot : "C'est chiant, y a trop de soleil ! J'en ai marre moi !" Et là, j'ai envie de dire OMGWTF. Ou pas.


Que ceux qui se seraient sentis concernés par cette généralisation affligeante m'excusent, et sourient un peu au soleil !!

vendredi 15 mai 2009

Un gros cube, un petit cube...

Coucou !
Bon, c'est un sujet incontournable alors voila un petit post pour en parler, j'ai nommé :
le Rubik's cube.

Alors oui oui, ça ne s'écrit pas rummikub, rumixcube, ni rubicube.

Rubik donc, du nom de son inventeur Ernõ Rubik, et Cube... euh ben à cause de sa forme...

Suite à cette digression grammaticale, un peu de chiffres, un principalement : 43 milliards de milliards, c'est le nombre de combinaisons possible (43 252 003 274 489 856 000 exactement).

Oui ça en fait pas mal, mais il existe quelques astuces pour en venir à bout en 1 min, 30 sec ou 15 sec, suivant le nombre d'algorithmes que vous serez capables de retenir (et le temps que vous serez capables d'y accorder...). J'en reparlerai peut-être.

Bon bon, passons... Une pensée pour les filles, qui aiment ce qui est petit c'est bien connu, le Rubik's cube a un petit frère : le pocket cube.

Les blondinettes en viennent souvent à penser que celui-là est facile, alors elles le mélangent, elles tournent dans l'espace des 3 674 160 combinaisons, et elles partent en laissant le cube tout mélangé dans le bar, et euhh... non rien !

Bon, on en arrive au vrai sujet de l'article petit à petit ! Ou plutôt grand à grand, puisque le Rubik's Cube n'a pas qu'un petit frère, mais aussi des grands frères :
- Le Rubik's Revenge, qui compte environ 7,4*10^45 combinaisons (7 401 196 841 564 901 869 874 093 974 498 574 336 000 000 000)
- Le Professors Cube, qui compte environ 2,8*10^74 combinaisons (282 870 942 277 741 856 536 180 333 107 150 328 293 127 731 985 672 134 721 536 000 000 000 000 000)

Et plus récemment, deux nouveaux grands frères sont nés (oui oui, dans la famille Rubik, les grands naissent en dernier). Inventés par Panagiotis Verdes, nous avons :
- Le V-CUBE 6, qui compte environ 1.57*10^116 combinaisons
- Le V-CUBE 7, qui compte environ 1.95*10^160 combinaisons

Et enfin, le fin mot de l'histoire, c'est que ces deux derniers cubes sont sortis il y a un an, alors pour l'occasion, c'est les soldes.
Le V-CUBE 7 est à 25 € au lieu de 42 €, et il n'y a plus de TVA à payer vu que c'est dans l'europe ou je ne sais quoi (mais il y a toujours le port). Bref, pour les intéressés, il faudra cliquer . Elle est pas belle la vie de geek ?? Wonderful !

vendredi 24 avril 2009

Top 10 !

Je suis tombée sur ce Top 10 des Misheard Lyrics, discipline que nous affectionnons tout particulièrement, et Ô surprise, l'un de ceux que l'on a réalisés est cinquième ! Il faut dire qu'on avait mis le paquet, ça envoie gros, comme dirait l'autre. Je vous le colle ici, histoire d'ensoleiller encore un peu plus le début de votre week-end (ou pas) :

Oui, on a un joli paillasson, on sait !

lundi 20 avril 2009

A l'apéro direct !

Enfin le nom "Perros-Guirec" m'a toujours fait penser à ça... On y a fait un tour ce week-end pour le festival de BD, et on a été super efficaces, puisqu'en seulement une heure, on a pu voir Laurel, la jolie dessinatrice mosellane, collectionneuse de Photomaton et amoureuse des chats, et Maliki, ou plutôt Souillon, son souffre-douleur, fan de BN et amoureux des chats... On leur a présenté Roy, et on a eu droit à de jolies dédicaces à son effigie, qu'il mettra très bientôt sur son site !


Il faisait un temps splendide, on en a profité un peu, et on a fait quelques achats BD, mais on est restés très raisonnables pour une fois... En espérant que le beau temps donnera envie à quelques dessinateurs de remettre ça l'an prochain, car ce festival est vraiment "à taille humaine" et on peut approcher les artistes, on n'a pas l'impression d'être à l'usine... C'est quand même la quatrième fois qu'on essaie de voir Maliki, on a enfin réussi !

jeudi 16 avril 2009

Ponyo Ponyo

Et voilà, le "dernier" (enfin en théorie, bien sûr) Miyazaki (père) est sorti, et tant qu'à faire, on est allés le voir.
Ce long métrage, qui se veut une libre interprétation de la Petite Sirène (enfin là c'est plutôt un poisson rouge !) est comme prévu destiné aux enfants, un peu comme son grand frère Totoro. Alors que dire ? C'est coloré, les décors sont très jolis, un peu dans le style crayonné, ça gambade dans tous les sens, c'est mignoooooon tout plein, et au final on ne s'ennuie pas et on passe un très agréable moment, jusqu'au générique de fin qui reste dans la tête pendant environ 2 jours ("Ponyo Ponyo Ponyo sakana no ko"...."Ponyo Ponyo Ponyo l'enfant poisson", pour étaler mon maigre vocabulaire japonais, wouhouhou).

Voilà, ça c'est de la critique !... Je sais que je suis extrêmement bon public et que mon avis ne vaut pas grand chose, et qu'en plus de ça, tout le monde s'en fout, mais je ne ressors pas souvent d'une salle de cinéma avec un tel sourire, alors si vous n'êtes pas totalement allergiques aux films d'animation, vous devriez aller le voir !

lundi 13 avril 2009

Joyeuses Pâques !

Avec un peu de retard, je vous souhaite tous les Kinder Schoko-Bons du monde !

lundi 6 avril 2009

Otite aérienne

Nous avons passé un long week-end ma foi fort sympathique à Rome, du 26 au 29 mars. Bien évidemment, j'ai trouvé le moyen de prendre froid (il faut dire qu'il ne faisait pas exactement un temps splendide), et je me suis donc retrouvée avec un rhume carabiné pendant la moitié du séjour. Ça n'aurait pas été très grave si l'avion ne s'en était pas mêlé, et n'avait pas transformé ce petit coup de froid en une terrible otite lorsque nous avons atterri à Nantes dans la nuit de dimanche à lundi... J'ai tout de même mis 1 jour 1/2 à obtenir un arrêt maladie (vous comprenez, les mamies ont tendance à appeler à 8h00 le lundi matin pour prendre rendez-vous chez le médecin, alors quand vous arrivez à 8h30 avec vos gros sabots, on vous envoie balader...), et j'ai donc passé presque toute la semaine à la maison, à dormir (et à jouer à Persona 4, bon OK, j'avoue...). Je ne pensais pas qu'une otite pouvait fatiguer à ce point, ou en tout cas je ne m'en souvenais plus, ça devait faire 20 ans que je n'avais pas subi ça...
Bref, je reprends le travail aujourd'hui, et je dois avouer que même si je me sens en petite forme, ce n'est absolument pas comparable à mon état de la semaine dernière. Du coup, ça va pas si mal.
Ah et pour mes photos de Rome, c'est par ici que ça se passe !

dimanche 22 mars 2009

Un de plus...

Et voilà, il fallait que ça arrive, c'est encore une fois mon anniversaire... heureusement, ma mamification s'accompagne chaque année de quelques cadeaux, qui ont vraiment été très nombreux cette année (et j'en profite au passage pour remercier Olivier, Laurent, ma maman, Gouidos et Emilie...!)
Pour résumer simplement :

Si vraiment ça vous intéresse, vous pouvez toujours cliquer pour agrandir

De gauche à droite, vous reconnaîtrez donc :

  • Star Ocean II (PSP)
  • Persona 4 (PS2), avec la bande originale incluse, et j'en reparlerai sans doute plus tard !
  • SingStar Abba (PS2)
  • Des chocolats
  • Des petits chat Polly Pocket complètement fashion (??!!?)
  • Une mini-orchidée qui a fait une fleur supplémentaire depuis que je l'ai reçue !
  • Cannelle... ou pas
  • Deux parfums (c'est un thème ?)
  • Un mini-mini plot
  • Des nouvelles oreilles pour Knacky, mon Nabaztag-tag
  • Un repose-poignet vache
  • Les Enfants de Hùrin de Tolkien (c'est marrant parce qu'après plusieurs années sans lire cet auteur, j'avais entamé ses Contes et Légendes inachevés il y a quelques jours !)
  • Des sablés à la châtaigne
  • Des Kinder Schoko-Bons
  • Un truc vert hideux PixMania pour s'accrocher un truc quelconque autour du cou

Bref, il y a de quoi faire ! Et comme je suis gentille, j'ai pensé à mes collègues et j'ai fait des muffins toute la journée... Il y en a 47 au total et ils y auront droit demain matin :

Et voilà !

vendredi 20 mars 2009

Banane! Close!

"Orange Info: Actu en vidéo, exploits sportifs, clips, bandes annonces... : + de 3500 vidéos en illimité dans votre offre Origami Star ! RDV sur Orange World"

Mais qu'est ce que c'est donc??? Une campagne de pub pour un tout nouveau forfait trop génial de la mort ??? Une réduction style :
"un mois gratuit signez là. merci ! vous êtes maintenant engagé pour 2 ans"

Et bien non détrompez-vous ! C'est tout simplement une pub pour... mon forfait. C'est ça le marketing chez Orange, ils ont tous les clients, alors maintenant ils prospectent leurs propres clients pour leur rappeler ce que fait leur propre forfait...
Oui, car cette offre n'est pas une option, elle est tout simplement contenu dans le forfait Origami de base...

"Oh hey t'abuses, y sont gentils de te rappeler ce que t'as le droit ! "
Certes, une fois passe encore... Le soucis, c'est que c'est un harcèlement !
"Bonjour, grâce à votre forfait data illimité, naviguez gratuitement en illimité sur internet"
"Bonjour, grâce à votre forfait TV illimité, visualisez gratuitement en illimité toutes les chaines du bouquet de base"
"Bonjour, grâce à votre forfait SMS illimité, envoyez gratuitement en illimité des SMS"


Bon là ça commence à suffir... Je crois que je vais commencer une collection. Alors si vous êtes intéressés, je cherche à échanger pour avoir tous les messages qu'il me manque encore :
"Bonjour, grâce à votre téléphone, vous pouvez téléphoner"
"Bonjour, grâce à votre accès mail, vous pouvez envoyer des mails"
"Bonjour, grâce à vos jambes, déplacez vous gratuitement!"
"Bonjour, grâce à votre doigt, effacez gratuitement ce spam!"

Biiiiiiip

mardi 17 mars 2009

Une histoire de voisinage

Notre voisin du dessous est un ascète, qui aspire au silence total dès 19h, tous les jours. D'ailleurs, c'est à peu près l'heure à laquelle il ferme ses volets. Ensuite, il ne faut plus le déranger. Le moindre bruit le fait entrer dans une rage folle, et il est capable des pires horreurs.
Notre voisin du dessous nous déteste, d'une haine profonde et viscérale. Et il ne manque pas une occasion de nous le faire savoir.


Scène 1 - Prise de contact
Un anniversaire calme. Un peu de musique de fond pour l'ambiance, à peine audible. Une quinzaine de personnes, répartie en petits groupes, discute tranquillement. Vers 22h, le calme est troublé par un coup de sonnette. Étonnés, nous nous empressons de nous enquérir de la raison de cette visite. La réponse est claire : nous faisons trop de bruit ! Interloqués, nous assurons tout de même à notre voisin que nous allons essayer de baisser le volume, même si cela nous semble difficilement réalisable. Mais apparemment, il est satisfait.

Scène 2 - 21h30, tard le soir
Ce soir,c'est soirée film, et même soirée Wayne's World, car il ne faut pas perdre les bonnes habitudes. D'un seul coup, on entend cogner très fort au niveau du sol, dans le coin de la pièce. Perplexes, nous ne trouvons pas l'origine du bruit et continuons la séance. Quelques minutes plus tard, vers 21h30, plusieurs violents coups de sonnette retentissent. A nouveau notre cher voisin, qui déclare que nous devons baisser le son immédiatement car nous l'empêchons de vivre. Nous terminons donc le film avec un volume à la limite de l'audible, l'oreille collée aux hauts-parleurs.

Scène 2bis - "J'ai quelque chose à vous dire...!"
Le lendemain de l'épisode précédent, Olivier croise le fameux voisin dans l'ascenseur, en compagnie de notre voisine du dessus. Il est en train de se plaindre en disant qu'il émane de chez nous un brouhaha incessant et que nous l'empêchons de vivre (il y tient). La voisine, quant à elle, n'a rien entendu du tout. Le voisin prévient Olivier qu'il informera le syndicat de copropriété, et qu'il tenait tout de même à ce qu'on soit au courant. Nous en déduisons donc qu'il avait prévu cette petite entrevue dans l'ascenseur.

Scène 3 - L'homme qui n'avait pas d'anniversaire
Quelques mois (sans nouvelles) plus tard (samedi dernier, en fait), nous célébrons un double anniversaire anticipé en petit comité (de 4,5 personnes), et nous poussons la chansonnette à l'aide de notre ami SingStar. Seulement voilà, le voisin n'est pas un mélomane (il aspire au silence, alors forcément, ce n'est pas compatible), et il décide de nous le faire savoir. Comme à son habitude, il s'acharne sur la sonnette (il faudra qu'on lui explique qu'elle fonctionne très bien, et qu'il suffit d'appuyer une fois sur le bouton pour qu'on l'entende) et nous fait part de son mécontentement. Soucieux de l'état de santé de notre sonnette, nous décidons de la désactiver après son passage, dans l'éventualité où il déciderait de nous rendre une autre visite, qui d'ailleurs ne se fait pas attendre. Cette fois-ci, il est très contrarié, certainement par l'absence de sonnette. Il se rabat donc sur la porte, qu'il cogne violemment un bon nombre de fois. Dans le doute, nous préférons ne pas lui ouvrir, de peur de subir le même sort que la pauvre porte. Le lendemain, nous constatons qu'il n'a certainement pas donné que des coups de poings, mais qu'il semble également être un as du kick-boxing, vu l'état dans lequel nous avons retrouvé notre poignée de porte d'entrée.

Oui, notre voisin du dessous nous déteste. Affaire à suivre...

lundi 16 mars 2009

Un destin de lapin

Voilà une petite BD très originale. Bien sûr, il faut aimer les gros pixels, l'humour à 2 balles, les univers médiévaux-fantastiques débiles, et euh... ce sera déjà pas mal.
Avec ses petits airs de RPG japonais d'un autre siècle (oui en fait, ça fait pas si loin que ça, si on y réfléchit bien), cette série de strips en pixel art a su me séduire, je n'ai pas honte de le dire (oui, j'aime les gros pixels, je ne m'en cache pas). Il s'agit d'une série de 362 épisodes en anglais, dont on peut trouver une traduction française sur ce site (mais seulement des 316 premiers épisodes pour l'instant), une traduction de bonne facture malgré quelques toutes petites incohérences.

L'histoire qui est proposée ici est celle de Maxim, un petit gars qui voudrait faire quelque chose de sa vie, et qui essaie donc de se faire recruter par la Guilde des Voleurs... Mais ça n'est pas si simple que ça, et après quelques aventures pleines de rebondissements, il finit par sauver le monde... rien que ça ! Les personnages sont marrants, les situations en général assez surréalistes, ça se lit très bien et il y a même un vrai scénario...! Au final, le seul problème est que contrairement aux apparences, 362 strips, ça se lit super vite...! Heureusement, il existe une suite à cette histoire, et même 2 suites. Et même le début d'une troisième suite pas finie. Donc il y a quand même de quoi faire.

C'est donc par ici si vous voulez découvrir tout ça :
Maxim Saves the World
The Dreaded Vampire Lord Fluffy
The War of Fate
Prophecies of the Demon King

Et un petit lien Wikipédia pour plus d'info !

J'avoue (j'avoue pas mal de trucs, aujourd'hui), j'ai découvert cette BD car l'URL de la version traduite contient le mot lapin. Et oui.

J'avoue également (mais c'est le dernier aveu pour cette fois), ça m'a donné envie de me mettre au pixel art...

That's all folks !

dimanche 15 mars 2009

Un peu casse tête

Voici un petit post sur un cadeau que j'ai reçu il y a quelques temps.
Quoi donc ?
Un Rubik's cube!!!

Comment ça "encore" ?? Oui encore, mais celui là est spécial. Déjà toutes les faces sont de la même couleur, ou plus non-couleur, puisque ce sont des petits autocollants réfléchissant.
Comme une image vaut 1000 mots, la voici :

Facile a priori hein ? Une sorte de rubik's cube pour blonde. Ca me rappelle celui-là:

Et bien en fait non, c'est pas si facile ! Parce que quand on le mélange, ça donne ça :


Les tranches du cube ont des épaisseurs différentes, au final il n'y a pas deux pièces identiques. Il n'existe donc que une combinaison valide sur les 43 252 003 274 489 856 000 possibles.

Bientôt un nouveau petit frère viendra s'ajouter à la collection !

lundi 2 mars 2009

Street Fighter Yves

Comme vous le savez peut-être, Street Fighter quatrième du nom est sorti il y a une dizaine de jours sur Plaistassion 3 et sur BoîteX 360. En tout cas, maintenant, vous le savez. Comme je suis une fan de Street Fighter de longue date, j'ai bien évidemment acheté le jeu "pour la console d'Olivier" (une 360), car les vidéos diverses et variées ainsi que les critiques (très très positives) que j'avais pu en lire m'avaient un peu mis l'eau à la bouche.


La vidéo d'intro qui poutre sa maman

Alors que dire ? Du haut de mes 14 ans d'expérience streetfightienne, j'ai un peu matière à juger ce que Capcom nous a servi pour ce quatrième opus.
Et bien l'esprit de Street Fighter (II) est là, et bien là. On retrouve un jeu en 2D de toute beauté. Les décors notamment sont très travaillés et sont agrémentés de petites animations très sympa, comme des personnages qui réagissent si votre combat a lieu trop près d'eux, ou encore des objets qui s'écroulent sous les coups (comme les tonneaux dans la distillerie par exemple). Bien évidemment ce genre de détail peut échapper à l'oeil du combattant, mais n'échappera pas à celui du spectateur qui assiste au match.


Bref, je disais donc, l'esprit de Street Fighter. C'est le bonheur de retrouver les sensations d'il y a 15 ans, lorsque je jouais sur ma bonne vieille MegaDrive, lorsque je passais des heures et des heures à finir le mode arcade avec tous les personnages, lorsque je mettais des branlées à mon cousin (bah ouais désolée Phil :) ), lorsque je ne réfléchissais pas et que je pensais juste à poutrer le type, là, en face, celui qui essayait de me mettre KO. Et c'est le sourire aux lèvres que l'on retrouve tout cela (à part mon cousin) version next gen, en beau, fluide, et avec 25 personnages différents. Pour les connaisseurs, il y a les personnages classiques (Ryu, Ken, Chun Li, Honda, Dhalsim, Blanka, Guile, Zangief, le vilain Sagat, Balrog, Vega et M. Bison) plus 4 petits nouveaux créés pour l'occasion (C. Viper, Rufus, Abel le Français et El Fuerte). A cette liste s'ajoutent les 9 personnages cachés qu'il faut débloquer à la force du paddle, à savoir Cammy et Fei Long (Super Street Fighter II), Gen, Sakura, Rose, Dan, Akuma/Gouki (Street Fighter Alpha), Gouken (le maître de Ryu et Ken, qui fait sa première apparition), et Seth l'horrible boss de fin.
Le jeu est donc de prise en main rapide pour les bons vieux fans comme moi, mais n'est cependant pas inaccessible aux néophytes qui, même sans technique et avec les personnages adéquats, pourront trouver leur bonheur, bien qu'il faille un peu de temps pour apprécier la profondeur du jeu et profiter de tout son aspect technique. Pas de quoi s'ennuyer, donc.

Ryu a un petit air de Tom Cruise dans le menu de sélection des personnages, non?

Un petit bémol concernant le mode arcade, puisqu'on ne retrouve pas le trio "je me bats contre tel personnage, dans SON décor avec SA musique". Ainsi, on ira combattre Chun Li dans une distillerie écossaise, ce qui est un peu déstabilisant, quand même. Ca fait un peu "le colonel Moutarde dans la cuisine avec la corde", et du coup le mode arcade perd un peu (beaucoup) de son charme. Cependant, comme à l'accoutumée, il est précédé/suivi de petites séquences animées qui introduisent un soupçon de scénario et qui, même si elles ne sont pas hyper utiles, sont toujours sympa à regarder.

Seth, le très très méchant boss

Au niveau de la difficulté... là, ça pêche un peu trop à mon goût. En mode arcade, il y a 8 combats pour terminer le jeu : 6 aléatoires, un contre "le rival" propre à chaque personnage, qui fait partie du scénario, et pour finir Ze Boss, Seth. Et là, gloups. Il y a de quoi rebuter quelque peu les débutants, et aussi de quoi piquer une bonne crise de nerfs, parce qu'il est vraiment, mais alors là vraiment très très méchant. Et en plus il est laid, pas charismatique, et il est très méchant... mais ça je l'avais déjà dit. Il dispose d'une palette de coups spéciaux assez impressionnante, empruntée à la plupart des autres personnages, et les enchaîne à une vitesse assez insultante pour nous pauvres humains non équipés d'une IA. Du coup, il faut s'accrocher pour espérer le battre, même en mode débutant avec des personnages peu maîtrisés, et ça risque d'en décourager certains. Et ça, c'est un peu dommage.

Les ultra combo finish sont toujours de la partie

Enfin, je suis très fâchée contre la manette de la 360, qui a une très mauvaise prise en main, et qui ne permet vraiment pas d'avoir une maniabilité extra. Je ne saurais donc que trop conseiller l'acquisition du titre sur PS3, et je songe sérieusement à acheter un stick arcade... à voir.

Pour finir, malgré une difficulté un peu mal dosée, je suis absolument conquise par ce titre qui me plonge dans une douce nostalgie tout en exploitant les capacités des consoles next gen... un retour aux sources hauts en couleurs pour les fans, un jeu à découvrir absolument pour ceux qui veulent un vrai bon jeu de baston, ce Street Fighter IV est une valeur sûre.

Et pour ceux qui veulent de la baston là maintenant tout de suite et sans attendre, vous pouvez vous essayer à String Fighter :
(Et là, tout de suite, je sais que je préfère Street Fighter)

vendredi 27 février 2009

Le jeu de la pochette d'album (suite)

Et bien vu que je trainais par hasard sur le net à 13h37, j'ai suivi les liens, et voila mon album...
J'espère qu'il se vendra... :/



Hum, je sais pas trop quel style de musique ça sera par contre...

Le jeu de la pochette d'album

Comme moi, vous traînez pas mal sur le web (ne niez pas, vous ne seriez pas en train de lire ça, sinon !). Vous avez donc déjà croisé ce truc au détour d'un blog ou d'un album photo sur Facebook... J'avoue, j'ai trouvé ça marrant. Je rappelle le principe au cas où :

A quoi ressemblerait votre pochette d'album si vous aviez un groupe ? Suivez les instructions ci dessous...

1- Allez sur Wikipedia, cliquez sur "random" ou suivez ce lien : http://en.wikipedia.org/wiki/Special:Random
Le premier article que vous trouvez est le nom de votre groupe.

2 - Allez sur ce site pour une citation en anglais : http://www.quotationspage.com/random.php3
ou ici pour une en français : http://www.lescitations.net/citations/hasard.html
les derniers mots de la dernière citation sont le titre de votre premier album.

3 - Suivez ce lien vers Flickr : http://www.flickr.com/explore/interesting/7days
La 3eme photo (quelle qu'elle soit, ne trichez pas) est votre pochette d'album.

Voilà :
Forcément, il fallait qu'il y ait Bob l'Eponge et Dora l'Exploratrice sur la pochette. Mais j'aime bien le nom du groupe ! Et le nom de l'album, on n'arrive pas bien à lire, c'est "Boy, that guy sure owed me a lot of money !". Je précise tout de même que j'ai bricolé ça avec Paint et IrfanView, je ne dispose pas d'outils plus adaptés ici (ben oui, ici, là quoi).

Alors voilà, toi, lecteur de ce blog (oui, tu te sens seul mais c'est normal je pense), réalise aussi ta pochette d'album et fais nous en profiter !

mardi 17 février 2009

Y a pas que la vraie vie dans la vie !

Voilà, j'ai reçu mon T-Shirt Nolife !

Et j'ai une tête qui fait peur.