dimanche 22 mars 2009

Un de plus...

Et voilà, il fallait que ça arrive, c'est encore une fois mon anniversaire... heureusement, ma mamification s'accompagne chaque année de quelques cadeaux, qui ont vraiment été très nombreux cette année (et j'en profite au passage pour remercier Olivier, Laurent, ma maman, Gouidos et Emilie...!)
Pour résumer simplement :

Si vraiment ça vous intéresse, vous pouvez toujours cliquer pour agrandir

De gauche à droite, vous reconnaîtrez donc :

  • Star Ocean II (PSP)
  • Persona 4 (PS2), avec la bande originale incluse, et j'en reparlerai sans doute plus tard !
  • SingStar Abba (PS2)
  • Des chocolats
  • Des petits chat Polly Pocket complètement fashion (??!!?)
  • Une mini-orchidée qui a fait une fleur supplémentaire depuis que je l'ai reçue !
  • Cannelle... ou pas
  • Deux parfums (c'est un thème ?)
  • Un mini-mini plot
  • Des nouvelles oreilles pour Knacky, mon Nabaztag-tag
  • Un repose-poignet vache
  • Les Enfants de Hùrin de Tolkien (c'est marrant parce qu'après plusieurs années sans lire cet auteur, j'avais entamé ses Contes et Légendes inachevés il y a quelques jours !)
  • Des sablés à la châtaigne
  • Des Kinder Schoko-Bons
  • Un truc vert hideux PixMania pour s'accrocher un truc quelconque autour du cou

Bref, il y a de quoi faire ! Et comme je suis gentille, j'ai pensé à mes collègues et j'ai fait des muffins toute la journée... Il y en a 47 au total et ils y auront droit demain matin :

Et voilà !

vendredi 20 mars 2009

Banane! Close!

"Orange Info: Actu en vidéo, exploits sportifs, clips, bandes annonces... : + de 3500 vidéos en illimité dans votre offre Origami Star ! RDV sur Orange World"

Mais qu'est ce que c'est donc??? Une campagne de pub pour un tout nouveau forfait trop génial de la mort ??? Une réduction style :
"un mois gratuit signez là. merci ! vous êtes maintenant engagé pour 2 ans"

Et bien non détrompez-vous ! C'est tout simplement une pub pour... mon forfait. C'est ça le marketing chez Orange, ils ont tous les clients, alors maintenant ils prospectent leurs propres clients pour leur rappeler ce que fait leur propre forfait...
Oui, car cette offre n'est pas une option, elle est tout simplement contenu dans le forfait Origami de base...

"Oh hey t'abuses, y sont gentils de te rappeler ce que t'as le droit ! "
Certes, une fois passe encore... Le soucis, c'est que c'est un harcèlement !
"Bonjour, grâce à votre forfait data illimité, naviguez gratuitement en illimité sur internet"
"Bonjour, grâce à votre forfait TV illimité, visualisez gratuitement en illimité toutes les chaines du bouquet de base"
"Bonjour, grâce à votre forfait SMS illimité, envoyez gratuitement en illimité des SMS"


Bon là ça commence à suffir... Je crois que je vais commencer une collection. Alors si vous êtes intéressés, je cherche à échanger pour avoir tous les messages qu'il me manque encore :
"Bonjour, grâce à votre téléphone, vous pouvez téléphoner"
"Bonjour, grâce à votre accès mail, vous pouvez envoyer des mails"
"Bonjour, grâce à vos jambes, déplacez vous gratuitement!"
"Bonjour, grâce à votre doigt, effacez gratuitement ce spam!"

Biiiiiiip

mardi 17 mars 2009

Une histoire de voisinage

Notre voisin du dessous est un ascète, qui aspire au silence total dès 19h, tous les jours. D'ailleurs, c'est à peu près l'heure à laquelle il ferme ses volets. Ensuite, il ne faut plus le déranger. Le moindre bruit le fait entrer dans une rage folle, et il est capable des pires horreurs.
Notre voisin du dessous nous déteste, d'une haine profonde et viscérale. Et il ne manque pas une occasion de nous le faire savoir.


Scène 1 - Prise de contact
Un anniversaire calme. Un peu de musique de fond pour l'ambiance, à peine audible. Une quinzaine de personnes, répartie en petits groupes, discute tranquillement. Vers 22h, le calme est troublé par un coup de sonnette. Étonnés, nous nous empressons de nous enquérir de la raison de cette visite. La réponse est claire : nous faisons trop de bruit ! Interloqués, nous assurons tout de même à notre voisin que nous allons essayer de baisser le volume, même si cela nous semble difficilement réalisable. Mais apparemment, il est satisfait.

Scène 2 - 21h30, tard le soir
Ce soir,c'est soirée film, et même soirée Wayne's World, car il ne faut pas perdre les bonnes habitudes. D'un seul coup, on entend cogner très fort au niveau du sol, dans le coin de la pièce. Perplexes, nous ne trouvons pas l'origine du bruit et continuons la séance. Quelques minutes plus tard, vers 21h30, plusieurs violents coups de sonnette retentissent. A nouveau notre cher voisin, qui déclare que nous devons baisser le son immédiatement car nous l'empêchons de vivre. Nous terminons donc le film avec un volume à la limite de l'audible, l'oreille collée aux hauts-parleurs.

Scène 2bis - "J'ai quelque chose à vous dire...!"
Le lendemain de l'épisode précédent, Olivier croise le fameux voisin dans l'ascenseur, en compagnie de notre voisine du dessus. Il est en train de se plaindre en disant qu'il émane de chez nous un brouhaha incessant et que nous l'empêchons de vivre (il y tient). La voisine, quant à elle, n'a rien entendu du tout. Le voisin prévient Olivier qu'il informera le syndicat de copropriété, et qu'il tenait tout de même à ce qu'on soit au courant. Nous en déduisons donc qu'il avait prévu cette petite entrevue dans l'ascenseur.

Scène 3 - L'homme qui n'avait pas d'anniversaire
Quelques mois (sans nouvelles) plus tard (samedi dernier, en fait), nous célébrons un double anniversaire anticipé en petit comité (de 4,5 personnes), et nous poussons la chansonnette à l'aide de notre ami SingStar. Seulement voilà, le voisin n'est pas un mélomane (il aspire au silence, alors forcément, ce n'est pas compatible), et il décide de nous le faire savoir. Comme à son habitude, il s'acharne sur la sonnette (il faudra qu'on lui explique qu'elle fonctionne très bien, et qu'il suffit d'appuyer une fois sur le bouton pour qu'on l'entende) et nous fait part de son mécontentement. Soucieux de l'état de santé de notre sonnette, nous décidons de la désactiver après son passage, dans l'éventualité où il déciderait de nous rendre une autre visite, qui d'ailleurs ne se fait pas attendre. Cette fois-ci, il est très contrarié, certainement par l'absence de sonnette. Il se rabat donc sur la porte, qu'il cogne violemment un bon nombre de fois. Dans le doute, nous préférons ne pas lui ouvrir, de peur de subir le même sort que la pauvre porte. Le lendemain, nous constatons qu'il n'a certainement pas donné que des coups de poings, mais qu'il semble également être un as du kick-boxing, vu l'état dans lequel nous avons retrouvé notre poignée de porte d'entrée.

Oui, notre voisin du dessous nous déteste. Affaire à suivre...

lundi 16 mars 2009

Un destin de lapin

Voilà une petite BD très originale. Bien sûr, il faut aimer les gros pixels, l'humour à 2 balles, les univers médiévaux-fantastiques débiles, et euh... ce sera déjà pas mal.
Avec ses petits airs de RPG japonais d'un autre siècle (oui en fait, ça fait pas si loin que ça, si on y réfléchit bien), cette série de strips en pixel art a su me séduire, je n'ai pas honte de le dire (oui, j'aime les gros pixels, je ne m'en cache pas). Il s'agit d'une série de 362 épisodes en anglais, dont on peut trouver une traduction française sur ce site (mais seulement des 316 premiers épisodes pour l'instant), une traduction de bonne facture malgré quelques toutes petites incohérences.

L'histoire qui est proposée ici est celle de Maxim, un petit gars qui voudrait faire quelque chose de sa vie, et qui essaie donc de se faire recruter par la Guilde des Voleurs... Mais ça n'est pas si simple que ça, et après quelques aventures pleines de rebondissements, il finit par sauver le monde... rien que ça ! Les personnages sont marrants, les situations en général assez surréalistes, ça se lit très bien et il y a même un vrai scénario...! Au final, le seul problème est que contrairement aux apparences, 362 strips, ça se lit super vite...! Heureusement, il existe une suite à cette histoire, et même 2 suites. Et même le début d'une troisième suite pas finie. Donc il y a quand même de quoi faire.

C'est donc par ici si vous voulez découvrir tout ça :
Maxim Saves the World
The Dreaded Vampire Lord Fluffy
The War of Fate
Prophecies of the Demon King

Et un petit lien Wikipédia pour plus d'info !

J'avoue (j'avoue pas mal de trucs, aujourd'hui), j'ai découvert cette BD car l'URL de la version traduite contient le mot lapin. Et oui.

J'avoue également (mais c'est le dernier aveu pour cette fois), ça m'a donné envie de me mettre au pixel art...

That's all folks !

dimanche 15 mars 2009

Un peu casse tête

Voici un petit post sur un cadeau que j'ai reçu il y a quelques temps.
Quoi donc ?
Un Rubik's cube!!!

Comment ça "encore" ?? Oui encore, mais celui là est spécial. Déjà toutes les faces sont de la même couleur, ou plus non-couleur, puisque ce sont des petits autocollants réfléchissant.
Comme une image vaut 1000 mots, la voici :

Facile a priori hein ? Une sorte de rubik's cube pour blonde. Ca me rappelle celui-là:

Et bien en fait non, c'est pas si facile ! Parce que quand on le mélange, ça donne ça :


Les tranches du cube ont des épaisseurs différentes, au final il n'y a pas deux pièces identiques. Il n'existe donc que une combinaison valide sur les 43 252 003 274 489 856 000 possibles.

Bientôt un nouveau petit frère viendra s'ajouter à la collection !

lundi 2 mars 2009

Street Fighter Yves

Comme vous le savez peut-être, Street Fighter quatrième du nom est sorti il y a une dizaine de jours sur Plaistassion 3 et sur BoîteX 360. En tout cas, maintenant, vous le savez. Comme je suis une fan de Street Fighter de longue date, j'ai bien évidemment acheté le jeu "pour la console d'Olivier" (une 360), car les vidéos diverses et variées ainsi que les critiques (très très positives) que j'avais pu en lire m'avaient un peu mis l'eau à la bouche.


La vidéo d'intro qui poutre sa maman

Alors que dire ? Du haut de mes 14 ans d'expérience streetfightienne, j'ai un peu matière à juger ce que Capcom nous a servi pour ce quatrième opus.
Et bien l'esprit de Street Fighter (II) est là, et bien là. On retrouve un jeu en 2D de toute beauté. Les décors notamment sont très travaillés et sont agrémentés de petites animations très sympa, comme des personnages qui réagissent si votre combat a lieu trop près d'eux, ou encore des objets qui s'écroulent sous les coups (comme les tonneaux dans la distillerie par exemple). Bien évidemment ce genre de détail peut échapper à l'oeil du combattant, mais n'échappera pas à celui du spectateur qui assiste au match.


Bref, je disais donc, l'esprit de Street Fighter. C'est le bonheur de retrouver les sensations d'il y a 15 ans, lorsque je jouais sur ma bonne vieille MegaDrive, lorsque je passais des heures et des heures à finir le mode arcade avec tous les personnages, lorsque je mettais des branlées à mon cousin (bah ouais désolée Phil :) ), lorsque je ne réfléchissais pas et que je pensais juste à poutrer le type, là, en face, celui qui essayait de me mettre KO. Et c'est le sourire aux lèvres que l'on retrouve tout cela (à part mon cousin) version next gen, en beau, fluide, et avec 25 personnages différents. Pour les connaisseurs, il y a les personnages classiques (Ryu, Ken, Chun Li, Honda, Dhalsim, Blanka, Guile, Zangief, le vilain Sagat, Balrog, Vega et M. Bison) plus 4 petits nouveaux créés pour l'occasion (C. Viper, Rufus, Abel le Français et El Fuerte). A cette liste s'ajoutent les 9 personnages cachés qu'il faut débloquer à la force du paddle, à savoir Cammy et Fei Long (Super Street Fighter II), Gen, Sakura, Rose, Dan, Akuma/Gouki (Street Fighter Alpha), Gouken (le maître de Ryu et Ken, qui fait sa première apparition), et Seth l'horrible boss de fin.
Le jeu est donc de prise en main rapide pour les bons vieux fans comme moi, mais n'est cependant pas inaccessible aux néophytes qui, même sans technique et avec les personnages adéquats, pourront trouver leur bonheur, bien qu'il faille un peu de temps pour apprécier la profondeur du jeu et profiter de tout son aspect technique. Pas de quoi s'ennuyer, donc.

Ryu a un petit air de Tom Cruise dans le menu de sélection des personnages, non?

Un petit bémol concernant le mode arcade, puisqu'on ne retrouve pas le trio "je me bats contre tel personnage, dans SON décor avec SA musique". Ainsi, on ira combattre Chun Li dans une distillerie écossaise, ce qui est un peu déstabilisant, quand même. Ca fait un peu "le colonel Moutarde dans la cuisine avec la corde", et du coup le mode arcade perd un peu (beaucoup) de son charme. Cependant, comme à l'accoutumée, il est précédé/suivi de petites séquences animées qui introduisent un soupçon de scénario et qui, même si elles ne sont pas hyper utiles, sont toujours sympa à regarder.

Seth, le très très méchant boss

Au niveau de la difficulté... là, ça pêche un peu trop à mon goût. En mode arcade, il y a 8 combats pour terminer le jeu : 6 aléatoires, un contre "le rival" propre à chaque personnage, qui fait partie du scénario, et pour finir Ze Boss, Seth. Et là, gloups. Il y a de quoi rebuter quelque peu les débutants, et aussi de quoi piquer une bonne crise de nerfs, parce qu'il est vraiment, mais alors là vraiment très très méchant. Et en plus il est laid, pas charismatique, et il est très méchant... mais ça je l'avais déjà dit. Il dispose d'une palette de coups spéciaux assez impressionnante, empruntée à la plupart des autres personnages, et les enchaîne à une vitesse assez insultante pour nous pauvres humains non équipés d'une IA. Du coup, il faut s'accrocher pour espérer le battre, même en mode débutant avec des personnages peu maîtrisés, et ça risque d'en décourager certains. Et ça, c'est un peu dommage.

Les ultra combo finish sont toujours de la partie

Enfin, je suis très fâchée contre la manette de la 360, qui a une très mauvaise prise en main, et qui ne permet vraiment pas d'avoir une maniabilité extra. Je ne saurais donc que trop conseiller l'acquisition du titre sur PS3, et je songe sérieusement à acheter un stick arcade... à voir.

Pour finir, malgré une difficulté un peu mal dosée, je suis absolument conquise par ce titre qui me plonge dans une douce nostalgie tout en exploitant les capacités des consoles next gen... un retour aux sources hauts en couleurs pour les fans, un jeu à découvrir absolument pour ceux qui veulent un vrai bon jeu de baston, ce Street Fighter IV est une valeur sûre.

Et pour ceux qui veulent de la baston là maintenant tout de suite et sans attendre, vous pouvez vous essayer à String Fighter :
(Et là, tout de suite, je sais que je préfère Street Fighter)